Daichi ~ Sora : Deux villes ... deux mondes différents ...

Le contexte
Daichi ~ Sora :: Là où tout commence :: Le point de départ :: Notre monde



Nous nous sommes élevés depuis quelques générations maintenant...

Sora...

Sora, le monde flottant, ville moderne, l'Uthopie des plus grands qui s'approche des cieux.

Elle possède les écoles les plus prestigieuse et les scientifiques les plus expérimentés.
Les habitants font à peu près tous parti de la petite ou grande bourgeoisie. Mais ce n’est pas l’argent qui importe dans ce monde, le pouvoir est la chose la plus recherchée.

Harmonie et ordres sont les maîtres mots dans cette merveilleuse citée où il fait bon vivre, pour tout ceux qui mérites d’y être du moins.

Une famille dirige depuis mainte générations ce petit havre de paix et de raffinement, leur héritié légitime, Asato Kyoya, la contrôle à présent. Il a le droit de vie ou de mort sur quiconque vie sur cette plateforme.

Son objectif est de nettoyée cette ville, car malheureusement, "les déchets du dessous commence à imprégnée notre belle Sora" …

"Ils ont réussi à organise nos poubelles, ces cafards".

"Je purifierai ces ordures pour qu’elle n’envahisse pas notre paisible citée" …

Tel est la façon de penser de ce Lord, son Maître mot "Discipline"...



Daichi…

Autrefois, une terre resplendissante pleines de ressources et qui ne cessait d’évoluer ! Qui eût cru, que celle-ci tomberait aussi bas ? Personne… A Daichi, cette idée n’aurait effleurée personne, pas même le petit peuple. Mais un jour les “grands“ de ce monde visèrent plus haut, ils estimaient qu’ils valaient mieux, qu’ils ne méritaient pas de se mélanger au petit peuple travailleur et bons citoyens.

Les dirigeants de Daichi à l’époque, entendaient éradiquer le peuple médiocre. Ceux-ci ayant eu vent de leur ignoble projet d’éradication, ils se rebellèrent et une guerre éclata.

Mais un jour, un homme, qui appartenait à la caste supérieur, arriva avec une nouvelle idée, une idée qui ravit ses congénères :

« Nous méritons mieux, nous méritons le Paradis ! »

Son utopie fut ainsi décrite, de grands savants, architectes et hommes de sciences y travaillèrent, et peu à peu Sora prit forme.

Ce fut euphorie en haut comme en bas, lorsque la caste supérieure quitta Daichi. Mais… cette euphorie ne dura pas longtemps…
En effet, Sora, dut trouver une solution pour combler ses déchèterie. La solution, ils la trouvèrent : Daichi.

Ainsi, tout les déchets et les indésirables de Sora, furent jetés à Daichi qui bientôt devint une ville poubelle.

Mais cela ne peut durer éternellement, nous habitant de Daichi, allons-nous laisser ceux de Sora, nous mener à la baguette comme ils l’entendent ?! Certains, se rebellent, d’autres se résignent… De quel camp serez-vous ?



Il ne faut pas s'imaginer qu'on se la coule douce à Sora, loin de là.

Si vous vous trouvez à Sora, c'est que vous êtes une personne de talent ou du moins que Sora à trouver en vous un talent à exploiter.
Ou bien que vous faites parti d'une famille renommée pour le talent de l'un de ses membres qui vous apporte des revenus.
Ce n'est bien-sûr pas gratuit de vivre à Sora et vous avez fort intérêt à exploiter au mieux votre (ou vos) talent(s) pour y vivre.

Il n'y à donc pas que des nobles dans la citée, il y a parfois même des habitants venu d'en bas mais il leur faudra se battre pour rester sur la plateforme.
Pas dans le sens propre bien-sûr, ça leur serait inutile mais il va leur falloir prouver leur valeur pour survivre et ne pas retourner d'où ils viennent.

Si vous vivez à Daichi, il se pourrait que ça ne soit pas pour toujours.

En effet, il arrive que des espions de Sora, pour repeupler la citée, viennent flâner sur le territoire d'en bas pour rechercher de nouveau talents.
Vous pouvez y vivre pour y avoir été envoyé si l'on ne vous trouvait plus utile voire même encombrant ou vous pouvez y être né et avoir développé votre propre talent.
Je voudrais bien dire, libre à vous de rejoindre Sora ou non si vous étiez amené à tomber sur l'un de ses espions mais ce n'est pas une invitation que l'on peu refuser.